Le nec plus ultra du maloya, l'irrésistible tempo de la Réunion. Les vertus de la simplicité (voix et percussions), déclinée sur une vibrante poésie créole.
Il y a dans le maloya de Zanmari Baré la même vérité simple et cruciale que dans celui de Waro. Chanteurs, compositeurs et poètes, tous les deux irradient de présence sur scène. Zanmari Baré ouvrira la soirée, en présentant son nouvel album. Puis Waro, le shaman ensorcelant du maloya, déboulera, habité par le feu et le vent, la lune et le soleil réunis. Il est un de ceux qui ont ouvert le cœur de Zanmari Baré à cette musique héritée du chant des esclaves, inscrite en 2009 par l'Unesco au patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Nul doute qu'il va l'inviter à le rejoindre sur scène. On ne ressortira pas indemnes de cette rencontre prometteuse de vertiges insensés. Source : Rocher de palmer
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